Rupture il y aurait ! Promettait Nicolas Sarkozy pendant la campagne présidentielle.
En mai 2006, le candidat avait donné à Cotonou quelques gages prometteurs, en s’engageant à promouvoir « la bonne gouvernance », ou encore « la démocratie [qui], ne se résume pas à des élections, à « bâtir un état de droit, où l’administration est neutre, les circuits financiers transparents, où la presse est à la fois responsable et indépendante, où l’autorité judiciaire est libre de (...)