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La crise sanitaire actuelle a révélé avec plus de force la difficulté de pouvoir organiser des débats contradictoires constructifs. Le mauvais exemple vient « d’en haut » : la majorité macroniste rejette d’un revers de main tout amendement de l’opposition à ces projets de loi. Si un médecin tient des propos ou un professeur de médecine, même de notoriété internationale, publie un livre remettant tout deux en cause la politique sanitaire du gouvernement ou dénoncent des conflits d’intérêts, ils sont alors qualifiés par une bonne partie des médias dominants de complottistes, propagateurs de fake news, rassuristes, catastrophistes ad libitum.