L’historienne Karima Dirèche considère que « la réappropriation (par les manifestants du hirak, ndlr) des symboles révolutionnaires (le 1er Novembre, l’emblème national, « un seul héros, le peuple »,…) participe à cette volonté de renouer avec une histoire de combats et de résistances dont le but était la liberté, la justice et l’égalité ».