À Calais, l’État a trouvé une solution inédite pour résoudre la question des exilés : les affamer. Désormais, il est interdit aux associations de leur donner de la nourriture ou de l’eau. La députée LFI Mathilde Panot est allée sur place pour dénoncer cette situation (et elle a pris son amende pour délit de solidarité). Elle nous raconte...