Quand des milliers d’hommes et de femmes sont déployés chaque semaine pour affronter des manifestants et que le trafic d’armes de drogues ou la traite des êtres humains patinent c’est que les bons choix n’ont pas été fait au sommet. La base alors, apeurée et mal encadrée, chauffée à blanc par des syndicats factieux, oublie le sens d’un métier auquel elle pensait s’enrôler pour le bien public et la lutte contre le crime plutôt que contre des soignants, des pompiers et autres matraqués et gazés récemment.