Chronique d’une journée ordinaire, ou comment un pays démocratique et patrie des droits de l’homme, s’enlise doucement dans un état policier n’ayant rien à renier d’un temps pas tres lointain ou dénoncer ses voisins et les envoyer aux fours crématoires était devenu un moyen de montrer que l’on était des braves gens, collaborant ainsi à un état fasciste.
J’accueille cette année pour la deuxième fois une petite fille Viktorya, petite fille vivant en (...)