Face à la communauté française en Israël, Emmanuel Macron estimait il y a quelques jours qu’un procès était nécessaire pour le meurtre en 2017 de Sarah Halimi, sexagénaire juive frappée et défenestrée par l’un de ses voisins, depuis jugé pénalement irresponsable. Une prise de position que n’ont pas appréciée les magistrats, qui y voient une tentative d’ingérence.