La crise à gauche n’est pas sans issue. Partout des hommes et des femmes relèvent la tête face à un système qui les opprime. Partout l’échec patent du nouvel âge du capitalisme pousse des peuples à chercher les voies d’une alternative. Partout de nouvelles gauches fleurissent. La France peut prendre une grande part à ce printemps des gauches. Elle en a les moyens.
Elle peut aussi préférer maintenir sous perfusion une gauche crépusculaire, qui en refusant de se réinventer, (...)