« Il faut un socialisme du réel » affirmait, avant de s’inscrire en attente de poste au Fmi, DSK dans un long texte, publié en trois parties dans trois numéros du Nouvel Observateur de mai et juin 2007. Le projet est louable. Le résultat l’est beaucoup moins : ni le socialisme, ni le réel n’ont de place dans ce texte idéologique. Seul, risque de rester réel, le « job » au Fmi.
Dans cette contribution, le socialisme est remplacé par un « réformisme sans tabou », « sur le (...)