La Réveillère-Lépeaux décrit la pension de Robespierre comme un temple où est rendu un culte à sa personnalité. : « On m’accueillit fort bien, et je fus introduit dans le salon, auquel était attenant un petit cabinet dont la porte restait ouverte. Que vis-je en entrant ? Robespierre, qui s’était impatronisé dans la maison, où il recevait des hommages tels que ceux qu’on rend à une divinité. … à suivre ce n’ est pas triste comme exemple de culte de la personnalité