Devant une restructuration économique qui a dans son collimateur 22000 suppressions d’emplois d’ici 2008 déclarés d’emblée en départs volontaires, France télécom connait le branle-bas au sein de son personnel.
Depuis sa privatisation en 2003, elle tenait à un projet de remise à niveau de rentabilité, c’est-à-dire l’augmentation des bénéfices par la réduction des effectifs. Donc les dépenses salariales et des charges afférentes y sont à la première ligne des (...)