Des blessé-e-s, des tirs à bout portant, des interpellations massives, voilà l’arsenal de répression qui est mis en place face à des lycéen-ne-s pour la plupart encore mineur-e-s. Quand le gouvernement appelle sans concession à l’apaisement, c’est la vie de celles et ceux qui se mobilisent qui est mise en danger.