C’est le grand mercato des transferts de printemps, la braderie des girouettes, le festival des retournements. Cette débâcle intellectuelle et morale n’est certainement pas finie. Pathétique, François Hollande pleurnichant sur le débauchage de ses infidèles. Pathétique, le Parti communiste négociant au rabais sa survie parlementaire. Pathétique, José Bové, acceptant une mission royale sans même attendre le second tour de la présidentielle.
Plutôt que de se lamenter sur la (...)