contrairement à ce que la direction veut faire croire, le mouvement est loin de s’essouffler », soulignait hier Alain Schartz, représentant de la CGT cheminots en Loire-Atlantique. De quoi renverser la pression, avant de nouvelles rencontres avec Édouard Philippe, le 24 ou 25, et le passage du projet de loi au Sénat.