Face au tollé suscité par son ouverture à droite, Jean-Michel Baylet a fait machine arrière, confirmant l’ancrage à gauche - et donc dans l’opposition - de son parti.
Menaçant de remettre en cause son accord électoral pour les législatives, le Parti socialiste avait réclamé au président du Parti radical de gauche (PRG) une "clarification publique" de ses intentions après ses appels à créer "une grande force centrale" rassemblant radicaux de gauche et Parti radical valoisien. (...)