On ne se souviendra pas de la guerre contre l’Irak pour la façon dont elle a été menée, mais plutôt pour la façon dont elle a été vendue. Ce fut une guerre de propagande, une guerre de « gestion de la perception », où des expressions chargées de sens, telles que « armes de destruction massive » et « état voyou » furent lancées comme des armes de précision sur le public cible : nous.