Lors des dernières élections présidentielles les électeurs se sont trouvés devant une bifurcation : continuer la voie tortueuse et dangereuse du néolibéralisme ou bien s’engager dans une nouvelle voie :celle du progrès économique et social mettant un terme à l’austérité et à la financiarisation aveugle de l’économie. Ils ont choisi la voie la plus dangereuse pour eux : celle menant à une crise économique paroxysmique dont ils seront les premières victimes.