L’avance optique d’un peu plus de cinq points de Nicolas Sarkozy sur Ségolène Royal (31,11% contre 25,83% des voix) est bruyamment orchestrée par la droite.
L’Establishment fait tonner les grandes orgues comme si son candidat avait déjà triomphé. En réalité, cette avance se renverse en son contraire, si on totalise pour le compte de Ségolène Royal l’ensemble des voix obtenues par les candidats qui ont appelé à voter pour elle au second tour, soit 36,11% contre (...)