Quand le dévot Fillon s’est moqué cyniquement des fonctionnaires de France Télécom et qu’il s’est donné le beau rôle, en privatisant cette grande et belle entreprise, d’avoir permis l’arrivée d’internet en France, la bouffaïsse, comme le dit Mado la niçoise, m’est montée au nez.