L’attaque portée par Jean-Pierre Filiu et à travers lui par le journal Le Monde apporte par contre un double témoignage. Par la virulence de l’assaut et la malhonnêteté des procédés engagés, elle démontre que la dichotomie manichéenne que les bien-pensants cherchent depuis des mois à imposer sur le dossier syrien ne résiste pas à l’épreuve des faits.