Si elle n’obtient pas d’avancée sur ses propositions, la CFE-CGC qui ne manifeste pas le 14 juin, pourrait dès le 23, après réunion de ses instances, durcir sa position. Et réclamer cette fois, le retrait total de la loi travail. Ruinant définitivement le script mal ficelé du camp des syndicats réformistes…contre celui des indécrottables contestataires.