L’expérience de ce qui s’est passé dans l’Allier revêt plus d’importance encore depuis les attentats, car elle montre bien que c’est par le rassemblement et la confrontation des idées et des orientations au grand jour, impliquant la liberté de manifester, de s’organiser et d’agir, et pas autrement, que l’on peut combattre le fascisme