A la fin des fins, les frontières bougeront peut-être. D’aucun tenteront de reformater la carte sur une base ethnico-religieuse. On invoquera la nécessité de la cohérence et de la stabilité. Je prévois que le tracé des ciseaux ne récompensera pas l’héroïsme des combattants kurdes. Car il faudrait alors reprendre le tracé des frontières dans quatre pays…