Citoyen de ce quartier de nouveau martyrisé, je connais plusieurs de ces victimes, enfants de nos lycées, de nos facultés, syndicalistes, artistes, journalistes. Car ils n’ont pas frappé n’importe où mais des quartiers et lieux de vie, de fête, de musique, d’amour, d’un certain art de vivre parisien, ce qu’ils détestent.