Ce qu’il est convenu d’appeler la « crise grecque » et son épilogue – provisoire ? - via la « Déclaration du sommet de la zone euro » du 12 juillet 2015 laissent un goût amer. Les élections du 25 janvier, confirmées et amplifiées par le référendum du 5 juillet, avaient suscité l’espoir que des alternatives à l’austérité et aux reculs sociaux étaient enfin possibles en Europe.