Le pouvoir utilise la police et les milices Imbonerakure pour réprimer : une dizaine de personnes sont mortes lors des affrontements. Environ 30000 personnes se sont réfugiées dans les pays voisins, les principales radios sont empêchées d’émettre, des militants des droits de l’homme comme Pierre-Claver Mbonimpa et des militants de la société civile comme Vital Nshimirimana sont poursuivis.