Ségolène Royal est aujourd’hui pointée au même niveau que Lionel Jospin début mars 2002. Y a-t-il pour elle un risque de décrochage ?
Rien n’est acquis, mais il faut prendre très au sérieux la situation. Celle-ci est la conséquence de ce que je décris depuis longtemps : si l’opposition n’est pas assez claire, assez frontale, alors la différence gauche-droite se brouille. Si en outre la différence des projets n’est pas vraiment ressentie, la confusion menace. (...)