L’Union européenne à travers sa législation est à la pointe de la libéralisation des services, y compris publics. Les États ne sont pas en reste, eux qui négocient dans l’opacité la plus totale à l’ambassade d’Australie à Genève l’accord TISA. Ces nouveaux services publics bientôt gérés par le privé favoriseront les secteurs rentables de leurs activités et délaisseront ce qui est déficitaire.