Jeudi 22 janvier, à trois jours des élections, l’atmosphère au centre d’Athènes est électrique, les gens sont nerveux. Ils se hâtent à régler des affaires en suspens, sachant que le lendemain certains organismes et offices travailleront au ralenti, parce que leurs employés feront usage de leur droit de s’absenter deux jours pour aller voter à leur lieu d’origine. Des citoyens, surtout des jeunes, s’attroupent devant les tableaux d’affichage public pour (...)