A-t-on bien pris la mesure de la situation politique institutionnelle qui résulte du vote de l’Assemblée nationale ? Soixante-treize députés de gauche ne le soutiennent pas. C’est-à-dire quinze de plus que le nombre requis pour déposer une motion de censure. Ce refus de soutien dessine une pente vers la radicalisation qui saute aux yeux.