Rédigée à la fin du XIX° siècle, à l’époque où la « haine du Boche » est, pour tout Français, une sorte d’obligation « morale », cette thèse provocatrice était aussi, probablement, dans l’esprit de son rédacteur, un formidable pied-de-nez au radicalisme patriotard, faux-nez « progressiste » d’une bourgeoisie en réalité profondément réactionnaire.