Malgré la crise, les banques et les multinationales se comportent de plus en plus comme des « super-prédateurs » exploitant partout les peuples et la nature pour mieux satisfaire leurs exigences de profit. Ces requins n’ont désormais plus rien à craindre – sinon leurs propres semblables. Face à eux, les citoyen.ne.s sont des proies sans défense.
Pourtant, il suffirait que nous unissions nos forces et agissions ensemble pour mettre un terme à leur impunité, et remettre en cause (...)