Les derniers développements de l’enquête sur l’assassinat de trois militantes kurdes proches du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), le 9 janvier 2013, à Paris, renforcent les soupçons contre Ömer Güney, l’unique suspect des meurtres. Ils accréditent désormais l’hypothèse d’un assassinat politique sur fond d’espionnage.