Il est communément admis que nous vivons la « troisième révolution du capitalisme ». L’enjeu, pour nos sociétés, serait de s’adapter à cette mutation rendue inéluctable par les évolutions technologiques. Vous contestez ce diagnostic. Pourquoi ?
Selon la logique dominante, celle de la droite néolibérale ou néoconservatrice, mais aussi de certains partis de gauche et mouvements altermondialistes, le monde a changé - c’est ce qu’on met sous le vocable « mondialisation (...)