François Hollande a fait ce qu’il a pu pour colmater la brèche. C’est-à-dire pour réduire l’affaire Cahuzac à la faillite morale d’un homme isolé. Le maître mot de cette stratégie coupe-feu relayée par la plupart des médiacrates : Cahuzac a agi seul, il n’a bénéficié d’aucune protection. Cette thèse officielle est fausse. Oui, Cahuzac a été protégé.