Porte parole du PS, David Assouline a chaussé ses gros sabots pour essayer de diviser le Front de Gauche. Il sépare le bon grain de l’ivraie : d’un côté des communistes jugés par lui constructifs et raisonnables, de l’autre Jean-Luc Mélenchon et le Parti de Gauche qui s’opposeraient, à « titre personnel », à la politique du gouvernement.
Les voilà donc qui manient la carotte et le bâton maintenant ! A chacun son rôle : au sénateur parisien les fausses flatteries, à (...)