La presse et internet faisaient grand cas mercredi de l’interpellation d’un jeune homme responsable, à lui seul, de plus de 1.000 appels téléphoniques tantôt menaçants, tantôt injurieux, passés à l’école juive de Toulouse Ozar Hatorah, autrement dit l’établissement où Mohammed Merah avait perpétré l’un de ses attentats sanglants en mars dernier.
L’article consacré à cette affaire par le quotidien local La Dépêche du Midi a ainsi rapidement fait le tour (...)