"Le peuple qui vous a élus n’acceptera pas une démocratie de façade, il pourrait alors être poussé à une nouvelle révolution", a-t-il déclaré, à l’occasion de la Fête de la République. "Quelle valeur pour une démocratie qui ne nourrit pas les ventres affamés ?", a-t-il lancé devant les députés.
"La révolution (de janvier 2011) nous a permis de parachever notre indépendance et nous a offert la démocratie et la République (...), mais ni l’indépendance ni la démocratie ni (...)