Quand les Espagnols de la « retirada » eurent fait de Toulouse « la Capitale de la République espagnole », ils prirent l’habitude de se réunir en palabres sur la place Wilson bordée d’immeubles de briques qui tournent autour de la statue de Goudouli, poète occitan, dans l’hypercentre de Toulouse.
Les Toulousains, poètes, au moins depuis que l’Académie des jeux floraux décerna son premier prix à un adolescent nommé Victor Hugo (à Paris, d’aucuns, crurent (...)