La Belgique est entrée à son tour dans la spirale austéritaire. Fin 2011, un premier plan approuvé par le nouveau gouvernement fédéral de coalition (partis socialistes, libéraux et démocrates chrétiens francophones et flamands dirigés par le premier ministre PS Elio Di Rupo), prévoyait plus de 11,3 milliards d’euros de coupes budgétaires. Objectif affiché : réduire à 2,9% le déficit de l’Etat belge, évalué à 3,8% du PIB.
Pressions de la Commission sur le gouvernement fédéral (...)