Le nombre modeste des opportunistes professionnels qui s’affichent aux côtés du président sortant indique, au moins autant que les sondages, que les deux mois qui viennent ne seront pas de trop à M. Sarkozy pour convaincre l’opinion qu’une fois de plus il a « changé ». Et que le changement de président impose donc de voter pour lui. L’exercice n’est pas gagné d’avance.