Le 1er février 2012, Robert Fisk terminait ainsi son article paru dans le quotidien The Independent : « Mais il y a une question qui n’est pas posée. Supposez que le régime [de Bachar el-Assad] survive. Sur quelle Syrie exercerait-il son pouvoir ? » Dit autrement : la révolte a atteint un point de non-retour. L’enregistrement, sous toutes les formes, par les forces policières et militaires, des dizaines de milliers de manifestants et d’opposants – chaque semaine, (...)