lundi 6 février 2012
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Il se passe quelque chose d’inédit. La presse dominante indexe nos succès sur les difficultés que rencontrent nos concurrents à gauche. Mais le tournant des derniers jours n’est pas celui-là. Il est dans le fait que nous touchons pour la première fois la part de notre peuple qui ne participait plus à un jeu politique devenu pour elle insignifiant. C’était notre objectif essentiel. A Nantes puis à Metz, une foule nouvelle se presse à nos meetings. La veille encore, atomes (...)