Jusqu’à cet été, inversant la pratique de tous les présidents de la Vème République, Nicolas Sarkozy soucieux d’étaler, aux yeux de tous, son hyperactivité, avait servi de fusible à son Premier ministre.
Aujourd’hui, à six mois de l’élection présidentielle, ce n’est plus possible. Pendant que Nicolas Sarkozy se pavane avec Obama, Fillon se charge de la sale besogne et annonce le budget le plus rigoureux « depuis 1945 ». Tout cela afin de préserver le triple A (...)