Celle dont Charles Aznavour disait qu’elle chantait des textes « portant un mélange de pessimisme joyeux et d’optimisme désespéré », a choisi de s’engager, au côté d’autres, dans le comité de campagne du Front de gauche.
Quel sens donnez-vous à votre engagement dans cette campagne électorale ?
Agnès Bihl. En fait, je n’ai pas le sentiment de quitter la scène artistique pour retrouver la scène politique ; pour moi, qui ai (...)