L’intervention publique au profit des banques ne doit pas continuer à être privilégiée aux dépens des salaires, des retraites, des investissements productifs, de l’école, de la santé, de l’action sociale, du logement...
Les responsables des banques et les rentiers rapaces qu’elles gavent, ne changeront pas de pratique sans que cela soit imposé par les peuples.