François Fillon et Nicolas Sarkozy seraient en train, au moment où ces lignes sont écrites, de rechercher frénétiquement des mesures d’économies budgétaires. Ils n’ont pas à aller bien loin ! Leurs cartons débordent de propositions sur le sujet, émanant de leur propre parti, fruits pourris de leur antienne obsessionnelle et éculée contre les dépenses publiques. La droite a un cap : la crise est pour elle l’occasion rêvée d’accélérer ses réformes néolibérales.
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