Terrible paradoxe que ces trois “mai espagnol”.
Le premier, le tsunami “bleu” (couleur des franquistes), des ultralibéraux du Parti Popular, héritiers du franquisme et qui n’ont pas totalement rompu avec lui. Ils ont par exemple refusé de voter, fin 2007, la loi de Mémoire historique, pourtant bien timorée… Ils exultent aujourd’hui. Ils vitupèrent contre ceux qui “veulent ré-ouvrir les vieilles plaies”. Au nom du (...)