Les premières disparitions forcées se produisent à la fin des années 70’ en Colombie, dirigées contre des militants reconnus de gauche (syndicalistes, étudiants, intellectuels, entre autres), des partis politiques d’opposition comme le Parti Communiste, ou des membres d’organisations insurgées capturés en dehors des combats. À cette époque, on en sait très peu sur ce genre de crime, il n’est pas considéré comme un acte criminel dans le pays. Les autorités judiciaires (...)