Dissensions, incidents dans les sections et les fédérations du parti se multiplient dans un contexte de succession dynastique où la maladie du président Bouteflika alimente toutes les rumeurs.
« Le président Bouteflika sera le candidat du FLN en 2014, si Dieu le veut ! » C’est par cette pirouette teintée de sous-entendus sur l’état de santé du chef de l’État algérien que le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a (...)